Objet:                                  Los_Angeles-New_York-84 litres_eau

 

De : Pierre Girard
Date: jeu. 24 mars 2011 à 16:23
Subject: Los Angeles à New York : 84 litres d'eau seulement pour le voyage, sans pollution.
To: <dufourv@ruefrontenac.com>, <fortierm@ruefrontenac.com>, <vandewallem@ruefrontenac.com>, <decariejp@ruefrontenac.com>, <larouchev@ruefrontenac.com>, <nadeauj@ruefrontenac.com>, <redaction@ruefrontenac.com>, <vincent.marissal@lapresse.ca>, <rima.elkouri@lapresse.ca>, <richard.hetu@lapresse.ca>, Richard Martineau <richard.martineau@journalmtl.com>, <redaction@lesoleil.com>, <redaction@ledevoir.com>, <plagace@lapresse.ca>, <pierre.foglia@lapresse.ca>, Petrowsky Nathalie <nathalie.petrowski@lapresse.ca>, Patrick Lagacé La Presse <kick1972@hotmail.com>, Nathalie Collard <ncollard@lapresse.ca>, <mlortie@lapresse.ca>, <michele.ouimet@lapresse.ca>, <mcassivi@lapresse.ca>, <mathieu.perreault@lapresse.ca>, Lysiane Gagnon - La Presse <lysiane.gagnon@lapresse.ca>, <jbegin@lapresse.ca>, <info@lautjournal.info>, Denise Bombardier <denbombardier@videotron.ca>, <contact@legrandsoir.info>, <chantal.guy@lapresse.ca>, chantal hebert <chebert@thestar.ca>, Boisvert, Yves <YBOISVER@lapresse.ca>, <APRATTE@lapresse.ca>, <akrol@lapresse.ca>, Agnes Gruda <agnes.gruda@lapresse.ca>, <adubuc@lapresse.ca>, <articles@legrandsoir.info>, <jlachape@lapresse.ca>, Julie Levesques <crgjulie@yahoo.ca>, Maja - Global Research <crg.online@yahoo.com>, Michel Chossudovsky <crgeditor@yahoo.com>, Micheline Ladouceur - mondialisation.ca <crm_crg@yahoo.com>

 

Journalistes

Vous qui savez tout ou presque, vous connaissez certainement Stanley Meyer.

Guerre du pétrole et prix exhorbitant, bris nucléaire dramatique, gaz de schiste merdique : à la poubelle. Plus besoin! 

Pierre Girard 

Cette énergie pourrait être disponible dans le monde entier

 et quasiment gratuite...

 

  

 

HOMMAGE À STANLEY MEYER

Mort d'un empoisonnement alimentaire le lendemain d'un contrat signé de $30 millions avec le Département de la défense US

Stanley Meyer : "Un grand nombre de fois au cours de ces 10 dernières années, on m'a proposé d'énormes sommes d'argent pour céder mon invention ou la laisser dans les cartons. Les Arabes m'ont offert plus d'un milliard de dollars en liquide simplement pour garder mon invention secrète et ne rien en faire".

 

NOTE: ce texte est principalement tiré des 2 vidéos Youtube présenté plus bas

Vous pouvez télécharger la vidéo en format FLV sur :

http://video.horsdutemps.info/Stanley-Meyer/Energie_libre_voiture_a_eau-20min59.flv

 

Pendant l'embargo pétrolier contre les E-U des années 70, Stanley Meyer cherche une source d'énergie alternative.

Dans les années 70, Stan Meyer se lance seul dans l'aventure. Son but est de résoudre les problèmes énergétiques de l'Amérique.

Il décide d'utiliser l'eau, la réserve mondiale la plus abondante d'hydrogène, combustible demeurant bien plus puissant que le pétrole. 

 

Meyer s'est toujours distingué des autres. Il n'a pas de formation classique en tant que scientifique puisqu'il n'a jamais terminé ses études secondaires et s'est lancé dans la recherche à l'institut de l'énergie Batelle dans son Ohio natal.  

 

Il possède un appareil dont les implications sont potentiellement révolutionnaires. Il n'y a rien de surprenant à ce qu'une machine puisse extraire l'hydrogène de l'eau. En revanche, ce qui est très original, c'est qu'elle le fasse avec de l'eau du robinet. La méthode traditionnelle est celle de l'électrolyse. Meyer a inversé ce procédé. Contrairement à l'électrolyse, son appareil n'utilise pas beaucoup d'électricité. Il ne produit pas non plus de chaleur perdue. Depuis 20 ans il a inventé une méthode qui permet de casser la molécule d'eau et de produire de grandes quantités d'hydrogène à la demande. Ceci n'est pas son dernier appareil. Il ne souhaitait pas qu'on le filme. 

 

Grâce à ce simple dispositif, il a pu montrer a un institut de la propriété industrielle incrédule que son concept révolutionnaire fonctionne bien.  

 

Des barres en alliage métallique servant d'électrode sont logées dans un bac en plexiglas rempli d'eau du robinet. Une tension d'alimentation  normale est appliquée via un transformateur. Mais le dispositif utilise très peu de courant, moins d'un demi-ampère. Le résultat est spectaculaire. L'hydrogène se dégage dès la mise sous tension. Meyer déclare que la clef de son système repose sur les composants électroniques qui contrôlent l'alimentation en courant des barres à une fréquence atteignant 20 000 hertz seconde. D'une manière qui n'est pas immédiatement visible, ce procédé transforme l'équation.  

 

L'électrolyse normale consomme 3 fois plus d'énergie qu'elle n'en produit sous forme d'hydrogène. Dans l'appareil de Meyer, c'est l'inverse qui se passe. Il semble produire plusieurs centaines de pourcentage d'énergie de plus que ce qu'il consomme.

             

 

Paul Czysz, professeur en aéronautique - Université Saint-Louis :

"Stan fait référence aux mêmes éléments que ceux qui ont essayé d'exploiter l'énergie au zéro absolu. Il y a les hautes fréquences et les hautes tensions. L'association des deux semble parfois déclencher un phénomène. En Russie, Chernetsky le désignait comme une décharge critique auto entretenue. Le tube s'auto alimentait. Quand Stan obtient cet effet, les quantités d'hydrogène et d'oxygène produites par ses deux électrodes sont une fonction discontinue. L'eau atteint presque le point d'ébullition. Si je réalisais cette expérience en électrochimique classique, j'aurais besoin de courant et la température de l'eau s'élèverait d'une degré à toutes les deux secondes. Le système de Stan, lui fonctionne pendant une demi-heure et la température de l'eau reste inchangée. Il y a quelque chose de différent."         

Meyer reproduit cette expérience sans difficulté et cela représente pourtant une révolution extraordinaire.

Les mesures qu'il a faites au cours des années suggèrent un rendement supérieur de 1700 % par rapport à celle de l'électrolyse classique.

Et selon ses dires il a obtenu des résultats encore meilleurs avec sa dernière invention qu'il tient encore secrète. 

 

Dr Keith Hindley - conseiller scientifique : 

"J'ai rencontré Meyer pour la première fois lorsque 2 des mes collègues et moi-même lui avons rendu visite pour son appareil de fission des molécules d'eau. Il nous a donc fait la démonstration du fonctionnement de sa cuve qu'il a remplie d'eau du robinet. Plus exactement c'est moi qui l'ai rempli. Puis il l'a branché et presque instantanément trois mâchoires de cirage sont tombées à cause du débit auquel le gaz se déversait. C'était tout à fait surprenant."    

Paul Czysz, professeur en aéronautique - Université Saint-Louis :

"Quel que soit la source d'énergie utilisée par Meyer, elle était sans commune mesure avec la puissance électrique consommée. Quelque chose l'alimentait, en dépit de l'opinion communément admise."

Le gaz qui se dégage si abondamment est évidemment de l'hydrogène. En l'allumant, Meyer produit une flamme dont la température est si élevée qu'elle peut découper du métal.

 

Dr Keith Hindley : "Stanley Meyer rencontre beaucoup de difficulté, par trois fois il a tenté de lancer son appareil. Il a organisé des conférences de presse, contactez la presse technique, mais à chaque fois on s'est moqué de lui, surtout au début. On a ridiculisé son idée. En général la science est très intolérante, en particulier la science moderne".   

 

Les revendications de Meyer comme celle Tesla, de Greig et des autres sont si éloignée du savoir scientifique admit qu'elles sont ignorées par la majorité de la communauté scientifique. 

 

Stanley Meyer : "Un jour nous avons transporté la cuve d'eau jusqu'à Washington à l'institut de la propriété industrielle. Je l'avais réglé pour qu'elle produise une énorme quantité d'hydrogène. L'instructeur du dossier de la demande de brevet a déclaré que ça ne pouvait pas fonctionner selon le processus de l'électrolyse. On a mis la machine sous tension et elle a immédiatement produit une énorme quantité d'hydrogène. L'instructeur qui a soudain réalisé ce qu'on était en train de faire est sorti dans le couloir en hurlant : "éteignez vos cigarettes il y a des l'hydrogène dans le bâtiment". On a bien ri et on s'est dit qu'on avait réussi à convaincre tout le monde et qu'on pouvait faire exactement ce qu'on avait annoncé". 

 

Malgré cela, l'institut de la propriété industrielle américain a attendu 3 ans avant de leur accorder un brevet pour leur machine. Depuis, Meyer a quand même réussi a faire breveter sa machine en Europe et au Japon.    

 

Il a adapté un Dune Buggy fonctionnant à l'eau. Pas de réservoir d'essence ni de conteneur d'hydrogène, juste un réservoir d'eau. Il a inventé un appareil appelé "séparateur d'eau" pour remplacer la bougie d'allumage. L'eau, injectée dans le moteur, est fractionnée en hydrogène et oxygène et sert de combustible.  

 

Stanley Meyer : "Évidemment, utiliser de l'eau comme combustible est exceptionnel, car elle ne produit que de la vapeur d'eau. On règle ainsi les problèmes de pollution et d'environnement. En utilisant de l'eau, on préserve l'équilibre de la planète."

 

Meyer n'a pas été ignoré par le puissant complexe militaro-industriel.

 

Stanley Meyer : "Elles sont partie prenante dans l'exploration de l'espace et aussi dans le domaine militaire. Quand ils ont compris ce qui se passait vraiment, au nom de la sécurité nationale, je n'ai plus eu aucune liberté de décision. Les militaires de la NASA ou le gouvernement fédéral étaient libres d'utiliser ou non mon invention à leur convenance."

 

Paul Czysz : "Imaginez qu'au lieu d'avoir une fusée de 453 mille tonnes, dont 400 mille tonnes de carburant, vouz ayez un dispositif qui sépare les molécules d'eau et alimente les moteurs sans aucun composé explosif.  

 

Si la confirmation publique d'un contact de la NASA était faite, cela donnerait un fameux coup de pouce à la technologie de Meyer, mais Paul Czysz dit que ces accords se font toujours en secret.   

 

Paul Czysz : "D'après mes informations, ils ont effectivement travaillé avec Stan, ils ont essayer de comprendre ce qu'il fait et ils ont passé un contrat avec lui. Je comprends aussi pourquoi face à l'administration de Washington et au contrôle de Congrès, ils ne l'admettront jamais publiquement. Ce qu'il ferait serait immédiatement en but à la suspicion et considéré comme une menace"

 

Paul Czysz : "Si L'appareil de Stan Meyer fonctionne comme il le dit, l'énergie serait disponible dans le monde entier et quasiment gratuite. Les répercussions seraient extraordinaire"

 

Stanley Meyer : "Un grand nombre de fois au cours de ces 10 dernières années, on m'a proposé d'énormes sommes d'argent pour céder mon invention ou la laisser dans les cartons. Les Arabes m'ont offert plus d'un milliard de dollars en liquide simplement pour garder mon invention secrète et ne rien en faire. Très souvent j'ai reçu des menaces de mort, mais je crois en ma bonne étoile, si ce n'était pas le cas, je ne croirais pas rester encore longtemps parmi vous."   

      

Youtube - Vidéo 1 - 10 minutes

Youtube - Vidéo 2 - 10 minutes

 

Stanley Meyer passe aux nouvelles avec son Dune Buggy, signe son contrat de 30$ millions avec le Département de la Défense, et meurt empoisonné...

 

1500$ environ pour le convertisseur pour chaque voiture en 1998

Video Youtube de 1 min 45 sec  

 

 

Youtube - comment ça fonctionne - 9 min

 

À bas le nucléaire, le pétrole et les gaz de schiste

Pierre Girard

 

Article de François Marginean, des 7 du Québec sur le même sujet (23 mars 2010) 

http://les7duquebec.wordpress.com/2010/03/23/lenergie-libre-de-stanley-meyer/